Les feux arrières sont modernisés pour recevoir des feux de recul, maintenant en série sur toute la gamme. Le clignotant devient orange. Ces feux ont déjà été installés sur le break courant 1962. A l’intérieur les extensions du tableau de bord sur les portes disparaissent.

Les bras supérieurs du pont arrière sont renforcés (à partir du châssis 140000 [P120] et 40000 [P130]). La structure arrière de la caisse est elle aussi renforcée au moyen de supports supérieurs de ressorts arrières renforcés, officiellement pour que la structure accepte mieux les efforts générés en cas de remorquage, mais c’est en fait la correction d’une erreur de conception initiale (la caisse était susceptible de se plier dans les arches de suspension arrières en cas de violent choc par l’arrière).

Au salon de Bruxelles de cette année-là, un cabriolet sur base du coach est présenté par Jacques Coune, un carrossier bruxellois créatif.

En juin 1963, une nouvelle usine installée dans une ancienne raffinerie de sucre est inaugurée à Dartmouth (Canada). Les voitures arrivent en pièces détachées et sont assemblées sur place (CKD - Completely Knocked Down, une méthode d’exportation permettant de payer moins de taxes en utilisant la main d’oeuvre locale). Les véhicules assemblés au Canada reçoivent un signe « Volvo Canadian » sur les ailes avant (voir le
site du musée de l’automobile canadienne). Cette usine, d’une capacité de 8000 véhicules par an, sera fermée en 1998.

◦ Noir (19, 63)
◦ Rouge rubis (46)
◦ Bleu Ardoise (67)
◦ Chamois (72)
◦ Vert clair (73)
◦ Blanc Perle (79)
◦ Gris Graphite (80)
◦ Jaune (84)











Le cabriolet Coune, en version d’origine (découverte) et restaurée.





Une 120 issue de l’usine canadienne